Intéressant Tonton, article sorti de ton lien : BMW Série 7 occasion – Cette troisième génération de Série 7 associe une ligne élégante, un châssis dynamique et une fiabilité éprouvée.
ON AIME
Cette BMW Série 7 de troisième génération (type « E38 »),
produite de 1994 à 2001, fut la première à menacer la Mercedes Classe S, (m e r d e sèche
)
Cette imposante (4,98 m) propulsion distille un remarquable agrément de conduite, associant précision et dynamisme, grâce à des trains roulants très perfectionnés. Elle permet d’effectuer de longs trajets sans aucune fatigue.
Au delà de sa belle qualité de fabrication et de finition, elle procure un confort de première classe par son amortissement, très onctueux, et son insonorisation très soignée.
Equipement raffiné avec, dès 1996, l’un des premiers GPS de série, et même un double vitrage sur les versions les plus huppées.
Allongée de 14 cm, la version Limousine « L » bénéficie d’un espace aux jambes arrière absolument royal.
Typiquement BMW, son 6-cylindres en ligne de 3.0 litres et 193 ch concilie caractère, performances honorables et sonorité mélodieuse. Et il se révèle relativement sobre, par ailleurs.
ON AIME MOINS
Sur chaussée glissante, il convient de garder en tête que cette Série 7 est une – lourde – propulsion, dépourvue de la moindre « béquille » électronique ; même les versions hautes (à partir de 740i) se contentant d’un antipatinage.
L’antidérapage ESC n’apparaît qu’à partir de 1999.
Le poids se fait particulièrement ressentir au volant de la « petite » 728i, plus modestement motorisée que ses sœurs de gamme.
Le freinage manque à la fois de mordant et d’endurance.
A NOTER
Pour un tarif équivalent, une 730i V8 3.0 litres de 218 ch n’est pas plus performante, mais plus onctueuse.
FIABILITE 4/5
Malgré une électronique omniprésente, cette Série 7 se révèle très fiable, en particulier dans cette sage version 6-cylindres, à la mécanique éprouvée.
PROBLEMES RENCONTRÉS
Moteur : joints de cache-culbuteurs parfois à remplacer ; des sondes lambda et des pompes à eau défaillantes.
Boîte de vitesses automatique : capteur défaillant.
Trains roulants prenant du jeu, à refaire au delà de 200 000 km (triangles, silentblocs…).
Direction : étanchéité du bocal de liquide d’assistance.
Electronique : voyants et témoins d’alerte « fantaisistes » ; défaillances de l’ordinateur de bord et du régulateur de vitesse adaptatif.
Climatisation : nombreux dysfonctionnements.
REPERES
Version conseillée 728i
Moteur : 6-cylindres en ligne, 24 soupapes, injection essence, 2 793 cm3
Puissance : 193 à 5 300
Couple : 280 à 3 950
80-120 km/h en 4ème/5ème : 8’’7/11’’7
Conso ville/route/autoroute : 11,5/10,4/10,3
Conso moyenne : 10,7
Freinage 130 km/h à 0 : 72
Espaces AR coudes/jambes 154/94
Coffre : 500
Longxlargxhaut : 4,98×1,86×1,43
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